Elaborer un modèle articulaire
à partir des fondements mécaniques de l’être vivant mais plus
spécifiquement du genre humain peut se faire en utilisant des concepts et des
outils spécifiques à plusieurs
disciplines.
Dans ce sens, Le Borgne et Gossard [1] ont publié un article
original où ils tentent d’expliquer le modéle articulaire (MA) à travers trois
points de vue mécaniques différents : la biomécanique, la mécanobiologie
et la mécanotransduction. En effet, le MA est analysé selon ces paramètres très
différents qui paraissent indépendants. En agissant au service de la même
fonction de mobilité articulaire la ces trois disciplines deviennent
complémentaires l’une de l’autre.